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Publié : sam. 09/07/2005 17:05
par aikii
À une grande échelle de coureurs et à notre niveau on s'en fout, on ne pense qu'à notre propre temps, le chrono de celui de derrière importe peu. Ou au mieux c'est l'occasion de se faire aider ... ou de l'impressionner comme tu dis :lol:

Mais si la course se joue entre les deux, évidemment ça change tout !

Publié : sam. 09/07/2005 23:10
par filou_londonien
il faut toujour rejoindre un train un peu plus rapide que sa propre vitesse en solo, tu te tape un sprint pour le rejoindre amis unfois que tu es dessus ton temps diminue, lidee est d'accelere de train en train, ou de garde un bon train a grand allure
je ne crois pas que l'on peut discuter les avantages d'un tain tant courte distance que longues distance:
3 choses sont requises:
-bon dos/rein et accelerateur
-train a vitese egale ou superieure a soi
-bonne technique et communication : emboitage des cadences et fait gaffe trou a droite

Publié : dim. 10/07/2005 14:13
par ViCh
aikii a écrit :Tiens, pour la question de l'aspiration qui reste en suspens, le suiveur ralentit-il la locomotive ?
Ma réponse à moi est non, au contraire (sauf si le gars est accroché solidement à ta taille :lol: )
Si le type qui est derrière toi patine, il annule quasiment l'effet de la dépression derrière ton dos puisque lui, toi et la masse d'air intermédiaire vous déplacez tous à la même vitesse. Seul le dernier du train ressentira l'effet de cette déperession. C'est d'ailleurs assez logique: le train formant un groupe à peu près compact, il n'y a, en gros, qu'un seul effet ralentisseur devant, et un seul derrière.

Publié : dim. 10/07/2005 16:05
par Mowglish
Oui mais le suiveur ralentit-il la locomotive s'il n'est pas en contact avec ?
L'effet de dépression caractérisée par une force qui ne s'exerce que sur le suiveur, ne profite qu'à celui-ci s'il ne la communique pas à la locomotive en la poussant.

Ma réponse est donc oui mais je suis incapable de donner une grandeur à cette force perdue. A mon avis, elle est négligeable...

Publié : dim. 10/07/2005 17:24
par ViCh
Le suiveur ralentit effectivement la loco, mais du fait qu'il va à la même vitesse qu'elle, il la ralentit beaucoup moins que la masse d'air (inerte) qui serait derrière lui sinon, donc il y a gain - à mon avis non-négligeable - pour la loco.

Publié : lun. 11/07/2005 02:01
par aikii
Bon attention on commence à sentir la frite mc cain ici :lol:

Mais je ne saurais m'empêcher d'ajouter cette observation assez frappante, c'est que le train serré avec contact en descente roule bien plus vite sans effort qu'une personne seule. C'est qu'en l'occurence le poids à descendre est décuplé tandis que la prise au vent est idéalement à peine supérieure à celle d'un seul patineur. L'effet est saisissant, dirait un snul qui passe par là. Évidemment on prend une telle vitesse qu'il faut être en parfaite confiance avec ses coéquipiers, j'avoue que j'ai pas osé à dusseldorf et essen.

Publié : lun. 11/07/2005 15:12
par philou
Mowglish a écrit :Oui mais le suiveur ralentit-il la locomotive s'il n'est pas en contact avec ?
L'effet de dépression caractérisée par une force qui ne s'exerce que sur le suiveur, ne profite qu'à celui-ci s'il ne la communique pas à la locomotive en la poussant.

Ma réponse est donc oui mais je suis incapable de donner une grandeur à cette force perdue. A mon avis, elle est négligeable...
Je pense que tant que le train ne dépasse pas le mur du son, l’onde de compression de l’air devant le suiveur doit pouvoir atténuer l’effet de dépression de la locomotive (il faudrait quand même faire des essais en soufflerie pour être sûr). Mais le plus important c’est sans aucun doute l’effet psychologique.

Pour en revenir à la question de Dardaran : Je ne pousse celui de devant que soit si j’ai pour une raison quelconque plus de vitesse (après l’avoir rattrapé par exemple), soit en descente soit encore si je sens que je serai incapable de prendre un relais et que tout ce que je peux faire c’est une petite poussée de temps en temps. Sinon je récupère en attendant de prendre mon relais, c’est bien plus efficace.
En tout cas, j’évite de m’accrocher aussi bien devant par derrière.

Publié : mar. 12/07/2005 11:34
par jiv
philou a écrit :En tout cas, j’évite de m’accrocher aussi bien devant par derrière.
lors de mes 2 derniers tours au Mans j'étais avec un patineur du club de Douai et nous nous tenions une main (on peut le voir sur la video d'Alfi persque à la fin)
lors des descentes ou des virages il n'était pas question de se tenir car les trajectoires se décider à la dernière seconde, nous ne nous tenions que dans le faux plat
cette technique a pour but de rapprocher les 2 patineurs, le 1e peut tirer l'autre en cas de faiblesse et disons que ça peut servir lorsque l'on part avec quelqu'un et que l'on veut finir avec lui
pour utiliser cette technique il faut bien connaitre l'autre ou avoir confiance (c'était mon cas) et que le niveau de chacun ne soit pas trop différent

Publié : lun. 18/07/2005 21:41
par filou_londonien
je crpis que jais fait une montee de la cote dunlop avec une fille a la mains, deriirere moi, je sais que j'ais tirer, amsi ell ma super motive, tellement que sur le faux plas du pneu dunlop je l'ai laisee dans la poussiere
ell a pris mon pouce (mem exiger le pouce) ._
d'autre train j'ai pris la main, d'autres jdutr poser la mnain sur eu,
f'autr e chaine, main derriere devant, tu peux faire deusx mains sur les hanches. aussi un mec j'ai attrapper son pantalon lycra, (celui la je voulais pas le perdre et il avait les deux mais sur le mec debant lui

Publié : mar. 19/07/2005 10:08
par ArkarD
Avant je preferais pousser, maintenant je prefere rester derriere en ne poussant qu'occasionnelement, en lui proposant de prendre le relais.

Par contre j'ai eu un truc horrible aux 24h: un mec pas tres stable c'est accrocher a mon cuissard (il l'a pris et a fait un tour pour etre bien sur de pas lacher) alors que j'avais la main dans le dos. Comme il a fait un tour avec sa main dans mon cuissard je me suis retrouve bien serre et comme il etait pas stable j'ai cru que j'allais tomber ou finir en slip plus d'une fois.
Conclusion: ne vous accrochez pas aux pantalons mais aux mains!!!

Sinon lors d'un autre train le gars devant (qui roulait bien!!!) m'a demander que je prenne sa main, apres un bon bout de parcours main dans la main (on avait les mains en crochet avec juste les doigts en contact) je n'arrivais plus a suivre, je decide donc de lacher, et la (cet enfoire que je remercie) il m'a empecher de partir en resserrant ma main.
La manoeuvre de "garder" la main du suiveur et quand meme delicate. Ca l'oblige a prendre un rythme qu'il ne veut pas prendre. A ne faire qu'avec quelqu'un dont on connait bien les capacites et dont on sait qu'il aurait tendance a abandonner un peu trop vite.