[FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
- dany-bxl
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Re: [CONFIRMED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Et voilà le Raid m'a permis de tester mes
R4
Même pas une petite cloche.
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Une impression de liberté intense mêlée ...
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Re: [CONFIRMED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
comment as tu réglé tes platines, comme sur tes carbone (vers l'intérieur) ou comme sur un patin de fitness (plus au centre) ?dany-bxl a écrit :Et voilà le Raid m'a permis de tester mes
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le patin permet au patineur de progresser mais ce sont surtout ses aptitudes physiques et techniques qui lui permettent de s'améliorer chaque jour sans oublier l'entraînement
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Re: [CONFIRMED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
comme mes carbones et avec un petit peaufinage à la première pausejiv a écrit :comment as tu réglé tes platines, comme sur tes carbone (vers l'intérieur) ou comme sur un patin de fitness (plus au centre) ?dany-bxl a écrit :Et voilà le Raid m'a permis de tester mes
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Re: [NEW] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
HE QWE !!??? Je rentre de vacance exprès pour le récit !!!Luis a écrit :[
Vous aurez "le récit" d'ici la fin de la semaine
Ne soyez pas sages !
Rota
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Re: [NEW] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
C'est vrai, Luis avait promis un récit fin de la semaine dernière ? Je suppose qu'il a sans doute d'autres priorités pour le moment Suspens ...Rota a écrit :HE QWE !!??? Je rentre de vacance exprès pour le récit !!!Luis a écrit :[
Vous aurez "le récit" d'ici la fin de la semaine
Re: [NEW] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Ca viendre, ça viendre !Minoustate a écrit :C'est vrai, Luis avait promis un récit fin de la semaine dernière ? Je suppose qu'il a sans doute d'autres priorités pour le moment Suspens ...Rota a écrit :HE QWE !!??? Je rentre de vacance exprès pour le récit !!!Luis a écrit :[
Vous aurez "le récit" d'ici la fin de la semaine
Le contraire de la vérité, ce n'est pas le mensonge, ce sont les convictions
(Nietzsche)
(Nietzsche)
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Le récit officiel (part I)
Croisement du Bd Albert II et de la rue du progrès ce dimanche 22 juillet, matin. A l'heure où, pour le citoyen honorable, la lumière du petit jour se joint au Bourgogne de la veille dans une impitoyable offensive, 19 énergumènes s'affairent à boucler leurs patins, à fermer le velcro de leurs protections poignets, à ajuster la jugulaire de leur casque. Ce faisant, ils devisent. Tous sont fermement décidés à profiter de la journée, bordel.
A 6h20, ils s'élancent sur leur parcours. Car ces 19 loustics, dont une femme il faut le préciser, Mesdames et Messieurs, ces 19 loustics donc, ambitionnent de rallier Breda dans la journée. Ah ah ah, Breda, dans la journée ... ce qu'il ne faut pas entendre tout de même.
La sortie de Bruxelles, le long du canal, se déroule sans perturbation. On roule avec aisance, dans une belle lumière, tout en échangeant de très civils propos. Mais on sent bien, quand même, la hâte de gagner un environnement moins urbain, où l'on pourra jouir du paysage, "rouler un peu". Ca vient assez vite, du reste, tant l'itinéraire a été conçu avec beaucoup de soin, pour le plaisir des yeux et le confort de roulage. Il ne faut guère longtemps pour se retrouver à la queue-leu-leu sur un chemin de halage, le long d'un canal où se dissipent paresseusement les brumes matinales, bordel !
Le Raid veut que l'on s'arrête environ toutes les 2 heures, pour refaire le plein d'eau et d'énergie. Le premier stop, c'est devant une boulangerie. Une boulangerie avec une boulangère, bien entendu, aussi apétissante que son étal. Car attention: les concepteurs de cet itinéraire sont des professionnels, des hommes de goût. Bref, on fait la file. Tandis que Peter, qui vient de rejoindre la troupe, lui, fait l'article pour sa copine: "Elle prendra dans sa voiture toutes les affaires dont vous n'avez pas besoin et vous les rendra à Breda". Bruno, en sueur, s'est assis un instant sur la pierre bleue de la devanture. Tout le monde s'extasie sur la magnifique empreinte laissée par son cul. Bruno, Mesdames et Messieurs, est un véritable artiste.
La deuxième partie du trajet est plus belle encore: le canal s'est élargi et est bordé de part et d'autre de deux tapis de fleurs sauvages qui, tandis que le soleil luit, jetent sur l'eau des reflets indigos, merde. Carla, qui ne se sent plus d'aise, multiplie les grâces. Inspirée par tant de beauté champêtre, elle circonvolutionne, louvoie, zigzague, slalome en souriant aux petits lapins. Et c'est la chute, bordel! Inévitable, programmée, attendue. Spectaculaire. Mais, heureusement, sans gravité, si ce n'est une plaie superficielle, quoique large, à l'épaule gauche. Sitôt tombée, sitôt debout, Carla promet de ne plus confondre une colonne de Raid avec un solo au Carrefour des Attelages.
On continue de rouler sans encombre, à un bon rythme et avec une belle cohésion d'ensemble. La deuxième chute surviendra environ une heure après. Plus grave celle-là. Une chute de train, classique. De ces chutes que l'on redoute toujours un peu mais que l'on n'attend pas. Et qui ne laissent aucune chance. Cette fois, c'est Didier qui s'y colle. Son front a heurté le sol. Son pouce est en charpie. Il est blême. Il maudit les trains et les raids, regarde son pouce, dit "il est cassé". Puis il le saisit de l'autre main et tire dessus de toutes ses forces en serrant les dents. Quelqu'un hurle. Xavier s'évanouit. Wimmm vomit. Dany appelle un hélicoptère des FA belges. Harry lève un sourcil. On discute un peu, et Didier ne met pas longtemps à décider qu'il reprend le train pour Bruxelles. Harry dit que c'est le tendon qui est touché. C'est Joel, Luis et Julien qui vont raccompagner Didier à la gare de Liers, à 5 km de là. Les autres attenrdont. Didier fait le trajet à fond de balle. C'est surprenant. Comme ça à l'air d'aller, on le laisse monter dans le train. Il téléphonera à ses parents qui habitent Bruxelles et se rendra à l'hôpital. On apprendra le verdict par un sms, plus tard, à l'heure du déjeuner: pas de fracture, mais un tendon déchiré. Le tout réparé avec 4 points de suture. Harry avait raison.
Le récit officiel (Part II)
Après cette pause forcée, le Raid reprend. La file s'étire un peu et ça circule par petits groupes. Bruno tente un coup de force en proposant de ne plus arrêter jusqu'à la pause du déjeuner. On stoppe net pour rédiger in peto les statuts d'un syndicat qu'on envoie par I phone chez un notaire. On élit dans la foulée 2 représentants syndicaux auxquels on accorde le statut spécial de protection contre les licenciements abusifs. De vive voix, ils exigent de Bruno la tenue immédiate d'un Conseil d'entreprise afin de statuer sur la fréquence et la durée des pauses. Le Conseil débouche sur la décision, obtenue haut la main, d'un arrêt de travail compensatoire. Le tout a pris exactement 60 secondes. Chacun met cet arrêt à profit comme il l'entend: certains cherchent de l'eau, d'autres font des étirements, d'autres encore se retrouvent en torse et pieds nus allongés au bord du canal. Mais, l'excès nuit en tout et 15 minutes plus tard, on repart.
Bon, pour la suite, on va faire court hein!? Parce que sinon on va y passer des heures alors qu'on a tous d'autres choses à faire.
- L'arrêt de 13h00 est certainement un moment clef du Raid. En gros, il y a deux priorités: les chiottes, et un endroit au soleil pour s'affaler. Après, on se retrouve à table pour une joyeuse débandade culinaire. La patronne a l'habitude et instaure un minimum de discipline. Ca marche très bien. On aligne les toasts d'eau pétillante aux présents et aux absent-e-s. On multiplie les vannes entre deux arrosages de spaghettis avec la sauce Tabasco. Après quoi, re-chiottes, re-affalage au soleil, et retour sur la route. A un rythme plus pépère, on peut l'imaginer.
- La suite reste un régal. A mentionner une troisième chute, dans les bois avant la frontière. Musa, soudain, disparaît de notre champ de vision, happé par une faille de l'espace temps. On le retrouve miraculeusement vautré sur un tapis de feuilles, se demandant quel Alien l'a ainsi jeté sur le bas-côté. Plus probablement une branche. Quoi que ...
- Traditionnelle photo à la frontière. On voit bien que tout le monde est heureux. Ca n'a pas de prix, ça !
- Le dernier stop avant Breda, dans un décor de film de Emir Kusturika. Un bonheur absolu, tous affalés dans l'herbe, aux abords d'un champ de blé, un peu abrutis de fatigue, mais peu avares en vannes pourries.
- La pointe de vitesse avant la banlieue verte de Breda, les grilles de "barbeuq", la ville, l'arrivée sur la Place.
- 155 km. On se congratule. Pour certain-e-s, c'est une première !!!! Carla, pour fêter son premier Raid, paie la tournée. Pas de réseau Proximus: on apprendra plus tard que Roox et Valérie étaient sur place et nous attendaient. Enculés de Belgacom.
- Le retour en train, c'est la cerise sur le gateau. Carla, encore elle, se fend d'un numéro d'hotesse de l'air, avant de bluffer tout le monde en se mettant à contrôler les voyageurs avec la vraie poinçonneuse, le contrôleur complice regardant par dessus son épaule; on a aussi f^té l'annibersoire de Harty ét de wipmm. Voir les post sur FB. Mais lé" je sio fatique. jz vaus mr couchg.
PS: un mot pour Bo, Fly, Kayakiste et Darren, qui n'ont pas pu venir. Ils nous ont manqué.
Ah oui ! On a eu de la chance avec le temps ...
Croisement du Bd Albert II et de la rue du progrès ce dimanche 22 juillet, matin. A l'heure où, pour le citoyen honorable, la lumière du petit jour se joint au Bourgogne de la veille dans une impitoyable offensive, 19 énergumènes s'affairent à boucler leurs patins, à fermer le velcro de leurs protections poignets, à ajuster la jugulaire de leur casque. Ce faisant, ils devisent. Tous sont fermement décidés à profiter de la journée, bordel.
A 6h20, ils s'élancent sur leur parcours. Car ces 19 loustics, dont une femme il faut le préciser, Mesdames et Messieurs, ces 19 loustics donc, ambitionnent de rallier Breda dans la journée. Ah ah ah, Breda, dans la journée ... ce qu'il ne faut pas entendre tout de même.
La sortie de Bruxelles, le long du canal, se déroule sans perturbation. On roule avec aisance, dans une belle lumière, tout en échangeant de très civils propos. Mais on sent bien, quand même, la hâte de gagner un environnement moins urbain, où l'on pourra jouir du paysage, "rouler un peu". Ca vient assez vite, du reste, tant l'itinéraire a été conçu avec beaucoup de soin, pour le plaisir des yeux et le confort de roulage. Il ne faut guère longtemps pour se retrouver à la queue-leu-leu sur un chemin de halage, le long d'un canal où se dissipent paresseusement les brumes matinales, bordel !
Le Raid veut que l'on s'arrête environ toutes les 2 heures, pour refaire le plein d'eau et d'énergie. Le premier stop, c'est devant une boulangerie. Une boulangerie avec une boulangère, bien entendu, aussi apétissante que son étal. Car attention: les concepteurs de cet itinéraire sont des professionnels, des hommes de goût. Bref, on fait la file. Tandis que Peter, qui vient de rejoindre la troupe, lui, fait l'article pour sa copine: "Elle prendra dans sa voiture toutes les affaires dont vous n'avez pas besoin et vous les rendra à Breda". Bruno, en sueur, s'est assis un instant sur la pierre bleue de la devanture. Tout le monde s'extasie sur la magnifique empreinte laissée par son cul. Bruno, Mesdames et Messieurs, est un véritable artiste.
La deuxième partie du trajet est plus belle encore: le canal s'est élargi et est bordé de part et d'autre de deux tapis de fleurs sauvages qui, tandis que le soleil luit, jetent sur l'eau des reflets indigos, merde. Carla, qui ne se sent plus d'aise, multiplie les grâces. Inspirée par tant de beauté champêtre, elle circonvolutionne, louvoie, zigzague, slalome en souriant aux petits lapins. Et c'est la chute, bordel! Inévitable, programmée, attendue. Spectaculaire. Mais, heureusement, sans gravité, si ce n'est une plaie superficielle, quoique large, à l'épaule gauche. Sitôt tombée, sitôt debout, Carla promet de ne plus confondre une colonne de Raid avec un solo au Carrefour des Attelages.
On continue de rouler sans encombre, à un bon rythme et avec une belle cohésion d'ensemble. La deuxième chute surviendra environ une heure après. Plus grave celle-là. Une chute de train, classique. De ces chutes que l'on redoute toujours un peu mais que l'on n'attend pas. Et qui ne laissent aucune chance. Cette fois, c'est Didier qui s'y colle. Son front a heurté le sol. Son pouce est en charpie. Il est blême. Il maudit les trains et les raids, regarde son pouce, dit "il est cassé". Puis il le saisit de l'autre main et tire dessus de toutes ses forces en serrant les dents. Quelqu'un hurle. Xavier s'évanouit. Wimmm vomit. Dany appelle un hélicoptère des FA belges. Harry lève un sourcil. On discute un peu, et Didier ne met pas longtemps à décider qu'il reprend le train pour Bruxelles. Harry dit que c'est le tendon qui est touché. C'est Joel, Luis et Julien qui vont raccompagner Didier à la gare de Liers, à 5 km de là. Les autres attenrdont. Didier fait le trajet à fond de balle. C'est surprenant. Comme ça à l'air d'aller, on le laisse monter dans le train. Il téléphonera à ses parents qui habitent Bruxelles et se rendra à l'hôpital. On apprendra le verdict par un sms, plus tard, à l'heure du déjeuner: pas de fracture, mais un tendon déchiré. Le tout réparé avec 4 points de suture. Harry avait raison.
Le récit officiel (Part II)
Après cette pause forcée, le Raid reprend. La file s'étire un peu et ça circule par petits groupes. Bruno tente un coup de force en proposant de ne plus arrêter jusqu'à la pause du déjeuner. On stoppe net pour rédiger in peto les statuts d'un syndicat qu'on envoie par I phone chez un notaire. On élit dans la foulée 2 représentants syndicaux auxquels on accorde le statut spécial de protection contre les licenciements abusifs. De vive voix, ils exigent de Bruno la tenue immédiate d'un Conseil d'entreprise afin de statuer sur la fréquence et la durée des pauses. Le Conseil débouche sur la décision, obtenue haut la main, d'un arrêt de travail compensatoire. Le tout a pris exactement 60 secondes. Chacun met cet arrêt à profit comme il l'entend: certains cherchent de l'eau, d'autres font des étirements, d'autres encore se retrouvent en torse et pieds nus allongés au bord du canal. Mais, l'excès nuit en tout et 15 minutes plus tard, on repart.
Bon, pour la suite, on va faire court hein!? Parce que sinon on va y passer des heures alors qu'on a tous d'autres choses à faire.
- L'arrêt de 13h00 est certainement un moment clef du Raid. En gros, il y a deux priorités: les chiottes, et un endroit au soleil pour s'affaler. Après, on se retrouve à table pour une joyeuse débandade culinaire. La patronne a l'habitude et instaure un minimum de discipline. Ca marche très bien. On aligne les toasts d'eau pétillante aux présents et aux absent-e-s. On multiplie les vannes entre deux arrosages de spaghettis avec la sauce Tabasco. Après quoi, re-chiottes, re-affalage au soleil, et retour sur la route. A un rythme plus pépère, on peut l'imaginer.
- La suite reste un régal. A mentionner une troisième chute, dans les bois avant la frontière. Musa, soudain, disparaît de notre champ de vision, happé par une faille de l'espace temps. On le retrouve miraculeusement vautré sur un tapis de feuilles, se demandant quel Alien l'a ainsi jeté sur le bas-côté. Plus probablement une branche. Quoi que ...
- Traditionnelle photo à la frontière. On voit bien que tout le monde est heureux. Ca n'a pas de prix, ça !
- Le dernier stop avant Breda, dans un décor de film de Emir Kusturika. Un bonheur absolu, tous affalés dans l'herbe, aux abords d'un champ de blé, un peu abrutis de fatigue, mais peu avares en vannes pourries.
- La pointe de vitesse avant la banlieue verte de Breda, les grilles de "barbeuq", la ville, l'arrivée sur la Place.
- 155 km. On se congratule. Pour certain-e-s, c'est une première !!!! Carla, pour fêter son premier Raid, paie la tournée. Pas de réseau Proximus: on apprendra plus tard que Roox et Valérie étaient sur place et nous attendaient. Enculés de Belgacom.
- Le retour en train, c'est la cerise sur le gateau. Carla, encore elle, se fend d'un numéro d'hotesse de l'air, avant de bluffer tout le monde en se mettant à contrôler les voyageurs avec la vraie poinçonneuse, le contrôleur complice regardant par dessus son épaule; on a aussi f^té l'annibersoire de Harty ét de wipmm. Voir les post sur FB. Mais lé" je sio fatique. jz vaus mr couchg.
PS: un mot pour Bo, Fly, Kayakiste et Darren, qui n'ont pas pu venir. Ils nous ont manqué.
Ah oui ! On a eu de la chance avec le temps ...
Dernière modification par Luis le mar. 31/07/2012 23:49, modifié 4 fois.
Le contraire de la vérité, ce n'est pas le mensonge, ce sont les convictions
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Tu m'épates Luis, je suis impatient de lire la suite ... Bravo !
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Excellent !
Un régal à lire.
Un régal à lire.
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Y Je le savais: cela valait bien la peine de rentrer de vacance pour lire le récit!!!
Merci au rédacteur et aux acteurs!!!
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Ne soyez pas sages !
Rota
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Oui excellent!
Et il sait nous faire languir cet homme là!
Un vrai feuilleton!
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Ced chéri ...
- jiv
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Merci Luis, très chouette récit.
Quel plaisir de te lire (à quand un livre???)
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le patin permet au patineur de progresser mais ce sont surtout ses aptitudes physiques et techniques qui lui permettent de s'améliorer chaque jour sans oublier l'entraînement
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Si il y aura encore d'autres récits pour d'autres raids, mon petit doigt me parie que tu feras partie des acteursjiv a écrit :Merci Luis, très chouette récit.
Quel plaisir de te lire (à quand un livre???)
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Minoustate a écrit :Si il y aura encore d'autres récits pour d'autres raids, mon petit doigt me parie que tu feras partie des acteurs
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Un régal à lire... Cela rappelle un grand absent du forum (Aiki), qui nous faisait aussi de beaux récits!
Le présent, seul, est nôtre; encore faut-il l'habiter. [A. Comte-Sponville]
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
merci pour le récit Luis
Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
on le vit comme si on y était .. plus la peine de chausser
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
vinciane a écrit :on le vit comme si on y était .. plus la peine de chausser
Et en plus vous pouvez raconter les petites histoires de ce Raid, comme si vous y étiez
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Une impression de liberté intense mêlée ...
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
vinciane a écrit : plus la peine de chausser
Trop de regret pour moi
Ca fait moins mal de tomber dans l'eau...
- tontonrider
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Re: [FINALIZED] Raid BXL-Breda bis [22/07/2012]
Excellentissime récit Luis merci